Les Belles sont partout et à toutes les époques. pétillantes, courageuses, espiègles, coléreuses, timides. Il y en a toutes sortes : des belles pimbêches, des belles endormies, des belles au soleil levant, des belles qui ne le voient pas....toutes inspirantes et remarquables.
Souvenir encré de l'enfance. On en voyait beaucoup dans nos campagnes. Aujourd'hui mes yeux s'illuminent lors que j'en croise une. Certaines voitures marquent des générations. La deudeuch, le combi VW flower power, la petite Fiat 500 Topolino sont de ces légendes que l'on adorerait voir rouler à nouveau.
Une petite touche arty féminine en plus.
 Un hommage aux " belles d'époque" et à toutes les " belles ladies" du monde.          
Les années 1920 : La Glamouritude absolue.
Les belles de 1940 ont endossé beaucoup de rôles différents, allant de combattantes à travailleuses, protectrices de leur foyer, résistantes. Leur féminité s'est révélée parfois très masculine. Il y a eu de nombreuses belles courageuses à chaque temps troublé de notre histoire. Ma grand-mère me disait un jour que l'élégance à cette époque avait été aussi une forme de résistance. Se tenir droite, la tête haute, impeccable, fière.
La Statue de la Justice est l'une des statues les plus connues au monde. Elle date de l'Antiquité Romaine.
Thémis Déesse grecque, fille d'Ouranos et de Gaïa (respectivement le ciel et la terre) porte les attributs de La justice 

La balance représente l’équilibre symbole d’équité non violent. Le glaive a deux tranchant contrairement à l’épée. Il représente le combat ardent, âpre et incessant contre l’injustice. Le bandeau est le symbole de l’impartialité. 
Au XVIe siècle, les artistes ont commencé à montrer la dame les yeux bandés pour montrer que la justice n'est pas soumise à l'influence. La Justice se doit d'être rendue objectivement, sans faveur ni parti pris, indépendamment de la puissance ou de la faiblesse des accusés. La cécité est alors la meilleure façon de garantir cette impartialité.
La Justice se veut aussi réceptive au malheur humain, cette clémence est symbolisée par le genou dénudé.

« La liberté correspond à la liberté de chacun d’exercer son libre arbitre. »
« L’égalité donne à chacun le devoir de respecter la liberté et donc le libre arbitre d’autrui. »
« La fraternité transforme le devoir de respect du libre arbitre d’autrui en volonté personnelle de garantir le libre arbitre de tous, comme condition de notre capacité à exercer notre propre libre arbitre. »
 
 Petite référence à Eugène Delacroix et sa Liberté guidant le peuple (1830), ainsi qu’à la statue de la République place de la république à Paris (1880)



La vérité sortant du puit
Selon une légende du 19ème siècle, la Vérité et le Mensonge se sont rencontrés un jour. Le Mensonge dit à la Vérité :
« Il fait très beau aujourd’hui »
La Vérité regarde autour d’elle et lève les yeux au ciel, le jour était vraiment beau. Ils passent beaucoup de temps ensemble jusqu’au moment d’arriver devant un puits.
Le Mensonge dit à la Vérité :
« L’eau est très agréable, prenons un bain ensemble ! »
La Vérité encore une fois méfiante touche l’eau, elle était vraiment agréable. Ils se déshabillent et se mettent à se baigner.
D’un coup, le Mensonge sort de l’eau, met les habits de la Vérité et s’enfuit. La Vérité, furieuse, sort du puits et court partout afin de trouver le Mensonge et de récupérer ses habits. Le Monde, en voyant la Vérité toute nue, tourne le regard avec mépris et rage.
La pauvre Vérité retourne au puits et y disparait à jamais en cachant sa honte.
Depuis, le Mensonge voyage partout dans le monde habillé comme la Vérité, en satisfaisant les besoins de la société, et le Monde ne veut dans aucun cas voir la Vérité nue. Dès lors qu’elle apparaît, il ne cesse de vouloir la voiler.

Mais....Elle finit par ressortir. Toujours...

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